En Haïti, il n'y a que 1, 5% d'habitants qui possèdent la richesse du pays. On ne peut pas sacrifier l' humain au détriment du profit. C'est pour cela, une organisation humaniste est nécessaire dans ce pays. Notre objectif, ce n'est pas de prendre le pouvoir comme certains prétendent à le dire mais de peser sur la politique. Nous devons compter aussi sur notre propre force, notre propre détermination pour changer la situation cahotique que connait Haïti. Bref, la politique doit servir à quelque chose.
Les questions qui se posent aujourd'hui :
- Quel doit être le rôle de la Cour Supérieure des Comptes ?
- Pourquoi y a -t-il autant de corrupteurs et de corrompus en Haïti ?
- Comment créer un état de partage, de service et d'amour pour le bien du pays ?
- Pourquoi en Haïti il y en a autant de partis politiques ?
- Comment faire pour appeler ces partis à la raison ?
- Comment arriver à avoir l'autonomie des institutions comme : le pouvoir exécutif, le pouvoir judiciaire, le pouvoir parlementaire .... ?
C'est à ce niveau là que nous attendons vos commentaires et vos propositions.
A méditer : " LE POUVOIR DE L' AMOUR DOIT ÊTRE PLUS FORT QUE L' AMOUR DU POUVOIR."
Docteur Luzincourt F. Adrien
Quelques années après l’arrivée de René Préval au pouvoir en Haïti, force est de constater que la situation socio-politique s'aggrage dans le pays. Au contraire, au lieu de sortir le pays du marasme dans lequel il se trouve, il a conduit et conduit notre pays dans le désespoir. Par une corruption systématisée et débridée, il le ruine. Puis à l’ombre du pillage organisé, la misère qui s’aggrave, les paysans pauvres ne parvenant plus à survivre dans les campagnes, gonflent cité Soleil (banlieue proche de Port-au-prince), cité Carton, les ravines ou tout simplement les trottoirs de Port-au-prince. Les familles qui ne peuvent pas envoyer leurs enfants à l’école, faute de moyens. La dégradation de ce qu’on pourrait appeler le service public. Bref, Préval et ses accolytes n’ont rien fait pour améliorer le sort des Haïtiens.
Tout le monde le sait en Haïti. Chaque candidat de la plateforme Lespwa avait un million de dollars pour mener campagne et d'ailleurs, on l'a vu, ils étaient les seuls à mettre des affiches géantes ça et là lors des dernières élections législatives partielles » du 21 juin 2009. De notre côté, on demande que la lumière soit faite sur ce fonds d'urgence.